dimanche 25 août 2013

Jorge Luis Borgès

Puisqu'il faut bien rendre hommage à celui qui m'a inspiré le nom de ce blog et qui m'habite au quotidien. La lecture de ses textes est une découverte perpétuelle, un labyrinthe de sens, de sons, d'histoires, un imaginaire tentaculaire, un terrier aux galeries qui bifurquent. 






"Le soleil du matin resplendissait sur l'épée de bronze, où il n'y avait déjà plus trace de sang. “Le croiras-tu Ariane ? dit Thésée, le Minotaure s'est à peine défendu."

"La Demeure d'Astérion",in L'Aleph, Jorge Luis Borgès, 

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